Réponse à Cédric - Falcon Studios

Bonjour à tous,


Aprés un long moment d'absence, je reviens, suite à un message de Cédric qui voulait voir ce blog continuer.


Comme l'a très justement remarqué Cédric ce blog est surtout concentré sur Falcon Studios.



C'est avec leurs films, vintages, que j'ai découvert le porno gay.


Je parle d'un temps où une VHS coutait 500 francs pour une nouveauté et 150 francs pour un film des années 80, quand on est étudiant, à 18 ans, le compte est vite fait.


Et je ne l'ai pas regretté, même si en 1997 je n'avais d'yeux que pour Mike Branson et Jeremy Penn j'ai dû attendre un moment pour les voir en action, je me suis donc tourné vers Lee Ryder, Al Parker et bien d'autres plus anonymes, pas mal, même très bien !!!

Al Parker dans Champs

Roger, actif dans Double Whammy

J'ai alors découvert avec Falcon un univers de mecs sublimes, ils n'étaient pas seulement beaux, musclés, ils étaient hors du commun.

Pas de mystère ici, le seul créateur de ces dieux vivants était Chuck Holmes, le fondateur et président des studios Falcon, qui a mis au point le "Falcon Look" : garçons soignés, épilés, bronzés, souriant ; la vie même, magnifiée !

Cette vision de perfection gayesque s'est affirmée dés 1984 avec Splash Shots, piscine, blondinets et soleil californien, un grand classique qui n'a pas vieillit... avec Kurt Marshall en guest star.

Ce premier épisode a donné lieu à une série, avec en 1987 Giant Splash Shots (voir les 3 photos précédentes) et un dernier retour en 1999.

Le lien entre ces trois épisodes est Jim Bentley, blond dominateur, que vous pouvez voir sur la deuxiéme photo l'arme à la main.

Falcon est un des rares studios à avoir créé un sex style haut de gamme (Garçon BCBG au contraire d'autres studios aux garçons plus populaires) et terriblement excitant, qui a bien changé depuis les années 2000 qui ont vu le déclin de cet empire.

Le rachat de la compagnie par Ragging Stallion a donné, récemment, de bonnes vidéos, avec un nouveau look plus "naturel" poilu et barbu.

Personnellement je préfére même si ces beaux imberbes des années 80 ne me laissent pas de marbre.

A bientôt...